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Rugissement au sommet du monde,
làou l'on est seul, ou l'on croit que personne n'entend,
et ou l'on veut expirer la rage et le desepoir de la solitude,
de l'injustice, de l'impuissance...
Rien n'y personne ne peuvent changer l'absence,
qu'elle soit réelle, parce qu'il n'est plus,
ou qu'elle soit ressentie comme une trahison un abandon
un écrasement de l'autre qui devrait être le plus proche
parce que liens de sang
(alors que l'autre absence etait lien d'engagement)
Orphelin doublement, par l'absence de l'aimé
et par le silence et le mal donne par le sang.
Ne reste plus que les liens descendant
Mais pour que le sang circule
il faut trouver le flot de l'energie
à retrouver et puiser dans les souvenirs
et dans la presence inconnaissable de l'autre cote du monde...
et arriver a faire une croix et se reconnaitre reellement seule vivante,
SANS LIEN DE SANG A GAUCHE A DROITE AU DESSUS.
1 commentaire -
d'il y a quelques temps...
même si pas trop réussi, il a quand même droit à se trouver dans mon album de musiciens aquarellisés... jusqu'à mieux plus tard ;-))))
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(je dois encore le présenter au cours... si j'y apporte des corrections, je viendrai le changer)
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Merveille de l'orgue
merveille de la musique
de l'infini où il nous emmène
Improvisation sur un thème grégorien donné
Olivier Messiaen : Jésus accepte la souffrance (extrait de la nativité)
Marcel Dupré : Prélude et Fugue en sol mineur
Bernard Foccroulle : Et Jesum (extr. de Spiegel) Imposé
Charles Widor : Allegro (extr. de VIe symphonie
Examen à l'IMEP, bachelier 3, Eglise St Pierre à Bastogne, 17,2/20....
Merveille, et merveilles du répertoire complet de tous les participants....
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Yenga, en lingala ou kiswaeli, je ne sais plus, signifie dimanche, fête...
c'est le cri qui a accueilli la naissance d'un petit bébé
né un dimanche, le jour de la fête des pères...
Ce nom fut donné aussi à une villa à la mer construite à cette époque par les grands parents
ravis d'acceuillir sans doute la première née d'une première née
souvenirs souvenirs...
Un cri à garder pour fin octobre pour un premier né d'une génération suivante !
(Elles habitent mon jardin pour le moment)
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