Photo pleine de symboles.
Mime dans une rue de Lisbonne.
Personnage dans une gangue de terre
Présentant un énorme coeur...
La terre fige. Elle est terne... juste les reflets de la lumière...
Elle ne laisse pas passer la chaleur de la vie. Elle cache...Protège-t'elle ?
De quoi ? du regard des autres ? du jugement, de l'envie, de la critique ?
Les autres ont-ils droit de savoir les batailles, le feu, les éclats, les couleurs, que l'on n'ose pas accepter soi-même ?
Les larmes (parfois de si belles couleurs ! les chants les plus tristes sont parfois les plus beaux !) d'un coeur peuvent-elles être montrées, ou doivent-elles être cachées sous la gangue de
terre, par peur d'être incomprise, par peur de heurter, et de ne pas être acceptée...
Le bonheur d'être acceptée, reçue en bloc avec tous ses défauts et qualités est si loin, si inaccessible... qu'il vaut mieux s'entourer d'une gangue de terre !
Quelle horreur, le cercueil n'est pas loin !